Devenir Media
C'est la traduction d'une partie de la célèbre formule "Don't hate the media. Become a media" dont je ne savais pas à qui attribuer la paternité avant de lire cet article sur Media Part. Inculte que je suis. C'est aussi le titre du dernier ouvrage de Olivier Blondeau et Laurence Allard. Universitaires, tous deux docteurs en science de l'information et de la communication, ils ont déjà à leurs actifs plusieurs articles remarqués. Pour ma part j'ai rencontré les travaux de Laurence Allard au début des années 2000 lors d'une enquête ethnologique que j'ai réalisé sur les cybercinéphiles, ces gens qui passent leur vie à commenter des oeuvres sur Internet.
S'il vous reste quelques sous après les cadeaux de Noël, et que vous avez envie de me faire plaisir (on peut toujours rêver, non ?), achetez moi Devenir Media.
Pourquoi je parle de ce livre ? Parce que le journaliste de MediaPart nous dit qu'il "donne au Réseau ce qui lui fait souvent défaut, la mémoire". Et ça, ça m'intéresse, ça me donne envie de le lire. Et connaissant déjà les travaux de Laurence Allard, ça me donne envie d'en parler. Très vite j'en parlerai plus (je ne vais pas attendre une ame généreuse pour me le procurer...), mais déjà vous pouvez en trouver le sommaire ici. Et je pense qu'il est susceptible d'intéresser quelques éventuels lecteurs de ce blog comme Manu, Valério ou Nicolas, qui ont fait de l'internet leur lieu de travail. Qui a dit que le progrès technique détruisait des emplois ? De la destruction créatrice, comme disait Joseph, de la destruction créatrice...
[Ajout du 15 janvier 2008 : une note de lecture est disponible sur www.liens-socio.org]
S'il vous reste quelques sous après les cadeaux de Noël, et que vous avez envie de me faire plaisir (on peut toujours rêver, non ?), achetez moi Devenir Media.
Pourquoi je parle de ce livre ? Parce que le journaliste de MediaPart nous dit qu'il "donne au Réseau ce qui lui fait souvent défaut, la mémoire". Et ça, ça m'intéresse, ça me donne envie de le lire. Et connaissant déjà les travaux de Laurence Allard, ça me donne envie d'en parler. Très vite j'en parlerai plus (je ne vais pas attendre une ame généreuse pour me le procurer...), mais déjà vous pouvez en trouver le sommaire ici. Et je pense qu'il est susceptible d'intéresser quelques éventuels lecteurs de ce blog comme Manu, Valério ou Nicolas, qui ont fait de l'internet leur lieu de travail. Qui a dit que le progrès technique détruisait des emplois ? De la destruction créatrice, comme disait Joseph, de la destruction créatrice...
[Ajout du 15 janvier 2008 : une note de lecture est disponible sur www.liens-socio.org]
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